Thérapie Individuelle psy allier
Si vous êtes en crise, que votre vie ne vous semble pas (ou plus) en adéquation avec vos valeurs, et vos attentes, c’est qu’il est peut-être temps pour vous d’entamer une psychothérapie.
Ce travail, effectué avec un psy allier, pourra vous permettre de faire le point, de prendre de la hauteur, faire le point sur votre vie, vos attentes, vos besoins, vos valeurs. En effet ceux d’aujourd’hui ne sont peut être plus ceux d’il y a 10 ou 15 ans et c’est important d’en prendre conscience.
C’est ce travail que vous pourrez faire avec un psy allier.
Lors d’un entretien hebdomadaire ou bimensuel, selon vos besoins, en face à face avec un psy allier, dans un climat de confiance, de bienveillance, de non jugement et de confidentialité vous pourrez aborder tous les sujets qui vous semblent nécessaires pour balayer tous les aspects de votre vie.
Cette thérapie, basée sur la personne, et centrée sur vous, elle a pour objectif de mieux comprendre vos états de mal être, vos difficultés émotionnelles, vos conflits psychologiques et permet d’apprivoiser les dimensions inconnues de votre psyché.
Ce travail thérapeutique fait avec un psy Allier, permet d’associer thérapie et vie quotidienne et de rester connecté à la réalité du monde environnant.
Quand vous faites une thérapie, le but est de vous préparer à pouvoir affronter de nouveau une situation donnée, de manière positive. Cela ne veut pas dire que vous avez oublié, mais que, à la lumière de nouveaux points de vues, vous appréhendez les choses différemment. C’est la démarche que vous allez entreprendre avec un psy allier
La psychothérapie analytique – psy allier , le mieux-être en quelques séances.
Avec un psy allier, sans être la solution à toutes les difficultés, cet échange permet de progresser dans l’exploration de la psyché, en analysant notamment son histoire afin d’aller vers une plus grande connaissance de soi.
Le cadre analytique peut ouvrir des perspectives nouvelles en cas de souffrances intérieures de sensations d’enfermement, d’angoisse, de mal être diffus, et de tout problème rendant le quotidien difficile à gérer seul, sur les plans relationnels, conjugaux, affectifs, émotionnels ou professionnels.
Au travers d’échanges en face à face avec vous, le patient, le psy allier facilite/propose/accompagne les interactions qui vous permettront une nouvelle analyse et une réappropriation de votre histoire afin que vous recontactiez vos propres ressources pour re/devenir autonome.
Thérapie adolescent, jeune adulte avec un psy allier
Un passage délicat …
Mon approche :
Le psy allier pourra accompagner le jeune pour l’aider à entrer sereinement dans le monde de l’adulte, et ainsi se confronter aux limites, risques, échecs, en vue de sa croissance et de son autonomie.
Ce passage peut-être délicat, il peut être accompagné par un psy allier, qui pourra apporter de la sécurité et un cadre rassurant durant cette période transitoire.
Pour «bien» grandir l’adolescent doit se séparer de ses parents (c’est là que le psy allier pourra prendre le relais). C’est le temps où le jeune se pose de nombreuses questions, et lutte entre loyauté et choix personnels pouvant aller à l’encontre de ceux proposés par les parents depuis l’enfance. Ainsi il construit ses choix et sa vie d’adulte.
Rassurons-nous, l’adolescence n’est pas une maladie ! En revanche ce qui distingue les adolescents d’aujourd’hui de ceux d’antan peut être leurs comportements à risque (sexuels, alcool avec le binge-drinking, drogues, sports extrêmes…).
Mais aussi il peut réagir à la souffrance vécue par des réactions émotionnelles exacerbées, des renfermements jusqu’aux états dépressifs, voire des formes d’auto violence telle la scarification. Le psy allier pourra aider à comprendre ces différents états.
Comment accompagner au mieux ce qui fait partie d’un comportement lié à la « crise » d’adolescence d’un comportement plus inquiétant comme la dépression ?
La thérapie ne fonctionne que si le jeune en fait la demande ou à minima est d’accord (sur la proposition d’un adulte référent) pour se faire aider par un psy allier.
Un endroit chaleureux, neutre, une présence empathique, celle du psy allier, écoutante, ne portant pas de jugement, la confidentialité des lieux seront un environnement propice afin que l’adolescent puisse contacter ses propres ressources lui permettant de trouver ses propres solutions et ainsi développer de nouvelles projections..
Cela pourra être long ou pas, des approches utilisant des techniques de thérapies brèves pourront être mises en œuvre, techniques maitrisées par le psy allier, avec des avancées, des retours en arrière, des doutes, des questionnements; néanmoins « le jeu en vaut vraiment la chandelle ».
Le psy allier peut-être la personne qui facilite le passage tant pour le jeune adolescent que pour le/les parent/s.
Psychothérapie de couple
Psychothérapie de couple dite aussi psychothérapie conjugale
Agir, se mettre en mouvement avec l’autre, est-ce si difficile ? N’y-a-t-il pas eu oubli d’une mise à jour régulière ? Il est facile de dresser un décor de désolations plutôt que de voir le chemin accompli, et maintenant que faisons-nous de tout cela ?
Chacun espère trouver dans la thérapie une recette miracle. Y aurait-il un manque d’imagination ? C’est la hantise d’atteindre la date de péremption au lieu de se réinventer. Chacun s’enferme dans un certain conformisme. Et si cela était une prise de conscience qu’il est temps, c’est le moment d’agir. Là peut intervenir le psy allier.
Souvent, le couple entame une thérapie en désirant que l’autre comprenne, accepte et change. Ce n’est pas la réalité et la finalité de la thérapie. Ce n’est pas à l’autre de faire des efforts, c’est à chacun dans le couple, le psy allier pourra aider et être présent.
Chacun est 100% responsable de ce qu’il vit. Le conflit est une guerre de tranchées, si chacun attend que l’autre sorte de son repère et se mette en danger pour venir le rejoindre, il peut attendre longtemps ou avec un peu de chance l’un va faire l’effort mais si l’autre reste sur ses positions, le conflit repartira de plus belle. Le psy allier sera là pour trouver d’autres approches.
Si l’un des deux refuse de reconnaitre sa responsabilité, alors il rejette la faute sur l’autre. Il faut alors se rendre compte que le travail ne peut pas avancer. Il peut y avoir un refus de voir la réalité alors l’échec de la thérapie restera la faute de l’autre, voir du thérapeute. C’est une projection.
Le conjoint ou la conjointe qui accuse son partenaire semble éviter d’explorer ses propres zones d’ombre, se montrer réticent à l’introspection, et tend à attribuer la responsabilité de l’échec à l’autre ou à d’autres facteurs. Dans ces situations, il peut être bénéfique d’envisager un suivi thérapeutique individuel, voire de suggérer un autre professionnel en thérapie de couple, afin d’encourager une prise de conscience. Le rôle du psy allier est de soutenir ce processus.
Chacun doit prendre ses responsabilités, travailler sur lui-même en acceptant ses parts d’ombres. C’est là que le psy allier peut être aidant C’est affronter la réalité, c’est une épreuve et cela demande de dépasser ses blessures, ses croyances limitantes et de trouver un équilibre émotionnel en soi et non grâce à l’autre. Cela suscite de l’appréhension, car c’est compréhensible qu’il puisse y avoir l’angoisse de la séparation. C’est aussi la peur de perdre l’objet autre qui nous appartient. Mais qui dit cela ? L’autre ne nous appartient jamais et c’est insupportable d’en prendre conscience. En thérapie de couple, il est important d’encourager les partenaires à progressivement s’affranchir de leur dépendance mutuelle. Cela peut être un processus douloureux lorsque l’un des conjoints tente de développer son individualité et d’exprimer son autonomie. Dans ces situations, le couple peut devenir plus vulnérable, le psy allier sera présent pour accompagner durant ce passage.
Souvent, l’un cherche à rester dans la fusion, presque à se dissoudre dans l’autre et la thérapie de couple, même si elle est acceptée, fait peur. Vouloir à tout prix le réconfort de l’autre et si cet autre ne veut pas, cela va susciter de l’angoisse, d’un côté comme de l’autre car l’un a l’impression d’étouffer, et l’autre se croit rejeté. Chacun peut être sur la défensive, en mode attaque ou repli, voire dans un silence qui va durer. La question est : où est ma place aujourd’hui dans le couple ? Et l’un comme l’autre pourrait avoir la sensation d’être sans défense, sans protection. L’autre devient l’ennemi, pourtant, l’ennemi c’est la situation, l’incompréhension.
Qu’est-ce que tout cela veut dire ?
Afin de bien saisir la nature de cette démarche, il est essentiel que chaque individu se perçoive comme un être libre, capable de s’épanouir sans dépendre de son partenaire au sein du couple. Les deux personnes peuvent coexister pleinement en tant qu’individus autonomes tout en étant engagées dans la relation. Il s’agit de renoncer à l’idée que l’autre partie exerce une influence oppressante sans remettre en question sa propre responsabilité. Un plus un = trois : toi, moi le couple.
Cependant, pour assumer pleinement sa part de responsabilité, il est nécessaire de donner un sens aux expériences vécues. Il faut du temps pour réaliser que chaque individu est en charge de son propre environnement, et que l’aide ne peut provenir que de soi-même. Il s’agit d’assumer une responsabilité personnelle.
Il est crucial de distinguer la responsabilité de la culpabilité, car parfois l’un ou l’autre partenaire peut tenter de prendre la culpabilité sur soi pour alléger la charge sur le couple, finalement.
Il n’est pas question ici de parler de blessure émotionnelle infligée à l’autre, car se serait se limiter, et la personne peut rester bloqué dans l’idée d’avoir fait un mauvais choix. « Tout est entièrement ma faute, je le reconnais. » Mais la personne reste figée à cet endroit sans vouloir travailler sur elle-même.
Il est important d’être conscient de sa propre responsabilité de faire ses propres choix, de pouvoir faire différemment car le sentiment de culpabilité exprimé serait bien une excuse afin de ne pas se responsabiliser maintenant et de ne pas choisir pleinement ce travail de couple. Attention à l’ambivalence. L’expérience d’hier ne sera plus l’expérience présente, il serait bon de se proposer une nouvelle compréhension du couple, et de s’inviter dans un processus nouveau et dynamique.
Je vois tellement souvent des personnes qui ne veulent pas se remettre en question et tout est toujours la faute de l’autre : « il ou elle n’entend pas, ne comprend pas ma souffrance, mon attente, mes besoins…. » Ce n’est pas à l’autre de combler, comprendre, soigner… L’autre n’est ni un parent, ni un ou une infirmière, ni un ou une psy. L’autre est un être libre, un co-équipier. S’il est d’accord pour répondre à la demande, c’est un choix personnel, profond et véritable, jamais une obligation. Sinon, le couple reste dans sa névrose symbiotique : « je te choisis pour que tu répondes à mes manques, mes souffrances, mes attentes ».
Dans le contexte d’une thérapie de couple, il est crucial de comprendre que cette démarche ne vise pas à blâmer ou accuser celui ou celle qui cherche à s’affranchir des attentes de l’autre et à échapper à un état de culpabilité, où l’on pourrait lui dire : « Tout est de ta faute, tu devrais changer, moi, je n’ai aucun problème. » Les couples d’aujourd’hui sont souvent confrontés à une mentalité de gratification instantanée, mais une relation solide se construit avec patience, objectivité, humour, plaisir, tendresse, et d’autres ingrédients. Chacun doit découvrir sa propre formule et y apporter une part de mystère.
Souvent, les partenaires aspirent à trouver le bonheur individuel tout en négligeant le bonheur collectif du couple. Cependant, il est crucial de se demander ce que signifie réellement être heureux. Est-ce la responsabilité de l’autre dans la relation de couple ? Plutôt que de chercher des avantages personnels au sein du couple, il est plus fréquent de percevoir des menaces. En thérapie de couple, l’objectif est de travailler ensemble pour donner un sens à la relation.
Si je souhaite que l’autre m’entende, je m’interroge, est-ce que moi je l’entends, est-ce que je m’entends ?
Si l’autre n’en peut plus, je regarde à l’intérieur de moi, en quoi cela peut-il faire écho en moi ? Que puis-je envisager pour moi, pour le conjoint ? Pour moi tout est parfait, cependant je ne suis pas seul(e) dans l’équipe.
- Si j’étouffe, puis-je devenir force de proposition pour moi-même et éventuellement pour l’autre ? En effet, l’autre n’a aucun pouvoir sur moi.
- Si je suis fatigué(e) d’être force de proposition pour le couple, ne suis-je pas responsable ? Est-ce que je laisse de l’espace pour que l’autre se réalise ? Pour que l’on puisse encore se rencontrer ?
- Chaque jour, je souhaite que l’autre soit disponible pour moi, suis-je disponible pour l’autre ?
- Je sais m’exprimer et me plaindre, être en colère ou triste, est-ce que je reconnais cet état chez moi, et chez l’autre ? Ou bien est-ce que je tourne la situation à mon avantage, pour rester le centre du monde ?
- Ai-je toujours raison ? Ou puis-je admettre mes erreurs, reconnaitre les siennes ?
- Si je demande à l’autre de s’excuser, est-ce que je sais présenter mes excuses, être désolé de la situation qui n’est pas celle que je souhaite ?
- Si je demande à l’autre de me respecter, est-ce que je me respecte ?
- Si je rêve d’une sexualité plus épanouie, puis-je m’inviter à séduire l’autre ?
Il est plus simple de se plaindre de l’autre, mais il est moins évident de travailler sur soi. Pourtant, c’est l’enjeu de la thérapie de couple, on ne peut travailler que sur soi. L’ennemi n’est pas l’autre dans le couple, le conflit est l’ennemi. Alors, si chaque conjoint travaille sur lui-même, et comprend qu’il n’est pas en danger lorsqu’il ose se dire afin de partager voire rencontrer l’autre, la thérapie fait sens et peut commencer.
Pour cela, chacun doit prendre ses responsabilités et faire un peu taire l’ego. Ce qui est constructif, c’est d’ œuvrer à rester positif dans une situation et des circonstances difficiles. C’est s’interroger à deux (avec le psy allier) afin de trouver des solutions au conflit, et vouloir choisir de renouveler l’engagement dans l’équipe, trouver un dynamisme nouveau, car dans le couple il y a un je, mais il y a aussi un nous. Le couple prend conscience de ses dimensions existentielles, il s’interroge sur ses buts.
Cela ne veut pas dire que tout sera toujours simple, sinon, cela voudrait dire qu’à force de voir le bon côté du couple il n’y aura plus de danger. Certainement pas. Dans les faits, la vie pourra toujours proposer de faire face à l’adversité, il y aura toujours des dangers, pourtant le couple pourra renouveler, faire évoluer ses choix consciemment et chercher à nouveau des solutions ensemble. Au lieu de fuir à nouveau ou de sombrer dans la colère ou le désespoir, le couple aura les ressources pour s’adapter. Il aura gagné en maturité. La thérapie de couple aura porté ses fruits.
Et ce travail de thérapie s’organise en plusieurs étapes, notamment :
Première étape : Se créer un espace sécurisé pour soi. Il est courant de tomber dans le piège de la culpabilisation et de rejeter la faute sur l’autre en disant : «tout est ta faute». Aussi se créer un espace sécurisé que ce soit à la maison ou ailleurs ou chacun pourra se retirer pour apaiser les conflits et ce avec l’accord de l’autre . Cet espace sera destiné à retrouver son calme sans que l’autre poursuive la dispute pour avoir le dernier mot.
Un endroit sécure en soi signifie être capable de trouver la force et la bienveillance intérieures lorsque l’autre est en colère ou projette son mal être sur vous pour se dire « ok, il (elle) est énervé, je vais prendre du recul » Pour cela il est utile de comprendre les dynamiques du triangle de Karpman (triangle dramatique), où chaque individu joue un rôle inconscient de victime, bourreau ou sauveur . Lorsque vous parvenez à interrompre ce jeu inconscient et vous en libérer, vous pouvez accueillir l’autre dans son état.
Deuxième étape : Comprendre la responsabilité de chacun et améliorer la communication.
Dans cette phase, le couple commence à comprendre la responsabilité de chacun et le travail d’analyse des conflits débute. Il est important d’éviter d’utiliser le « tu » dans les discussions, car cela peut tuer la communication. Les phrases commençant par « tu » donnent des ordres, des certitudes ou des injonctions, ce qui met l’autre en mode défense. Pour améliorer la communication, il est essentiel d’apprendre à s’exprimer différemment (par exemple « je- me sens triste / me sens abandonné/ ne comprend pas )et à s’écouter mutuellement sans se sentir envahi.
Troisième étape : Construire le couple d’aujourd’hui
Après un certain apaisement, la phase de rencontre peut commencer. La thérapie de couple ne vise pas à recoller les morceaux, mais plutôt à construire le couple d’aujourd’hui. Des habitudes se sont établies , la lassitude a pu s’installer après la « lune de miel ». A ce stade, la proposition est de se réinventer, se découvrir, mutuellement et raviver l’attirance.
Quatrième étape : sortir de la frustration et envisager l’avenir
Cette dernière étape implique de surmonter la frustration, le fatalisme et de voir des perspectives moi soi ET pour le couple. Cela peut s’envoler ensemble vers de nouveaux horizons ou réaliser avec maturité et sérénité , du fatalisme, voir une perspective pour soi et pour le couple, prendre son envol à deux ou se rendre compte avec maturité, sérénité que chacun est prêt à prendre un autre chemin.
Il est important de noter que la thérapie de couple n’est pas une solution magique, elle ne consiste pas a attendre que le thérapeute apporte toutes les réponses. Il s’agit d’un processus exigeant qui requiert de l’auto-réflexion, de l’interrogation et de cesser de considérer l’autre comme la seule source de responsabilité. La thérapie, et le psy allier offre un nouvel éclairage sur soi, le partenaire et la relation, permet d’analyser et de comprendre les obstacles à la communication, et rappelle que malgré une histoire commune, une nouvelle page peut être écrite consciemment, ensemble ou séparément .C’est un voyage d’apprentissage de l’existence, du partage, de la prise de conscience des responsabilités, et de l’autorisation de ressentir progressivement.